Goes to the Collégiale

Madelgaire vous offre ce titre, extrait de la demo parue en 2002 "... Goes to the Collegiale". Ce CD n'est plus disponible et ne le sera probablement jamais plus.

Madelgaire vous offre ce titre, extrait de la demo parue en 2002 "... Goes to the Collegiale". Ce CD n'est plus disponible et ne le sera probablement jamais plus.

"Tirant son nom d’un personnage historique belge, ce groupe apporte une fraîcheur bienvenue dans le monde du progressif. Désirant au départ simplement faire de la musique « sans étiquette », Madelgaire évolue dans un registre proche des groupes phares des années soixante-dix, à savoir Genesis, King Crimson et ELP. Ces influences ont été bien digérées et mêlées à d’autres éléments, qu’ils soient jazz (« Gimme a Light ») ou tirés de la musique folklorique médiévale (« Mad-el-Gehr », basée sur un air traditionnel). L’inspiration est omniprésente et les nombreuses mélodies sortent de l’ordinaire et du prévisible. La présence de Dominique Losignol au violon accentue encore celles-ci et confère résolument une touche originale au groupe. (...)

Les guitares sont floydiennes à souhait, la section rythmique particulièrement en place et les claviers occupent une place prépondérante. Grandiloquents, mélodramatiques et variés, ils constituent le squelette de chaque composition."

La chronique complète sur Progressia.net

Fin 2001, Madelgaire vient de naître et de trouver son nom.
Il a cette furieuse envie de déconner, oui, mais aussi d'enregistrer ses premières ébauches de morceaux, de s'envoler vers les horizons du succès, de galoper avec les chevaux fous des miroirs aux alouettes, de cracher sa haine d'anciens punks ratés... de... de... rhâââ, c'était le bon temps.

"Démo de quatre titres agréables à écouter et pourtant la trentaine de minutes que nous offre Madelgaire ne laissera pas les amateurs de progressif indifférents. Ouvert par le superbe Vae Victis et un simple clavier le morceau ne tarde pas à décoller avec une énergie immense et à envahir les oreilles. Assez difficile de dire à quoi ressemble Madelgaire, pour moi c'est une première dans le progressif (ceci étant dit, je suis loin de tout connaître, vraiment bien loin), quelque chose de frais et d'inventif. Des solos de guitare enivrants, un jeu de batterie impressionnant, des claviers bien présents, une basse intéressante et comme si ce n'était pas assez, un violon vient achever le spectateur. Non, vraiment, Madelgaire ne nous épargnera pas. (...) Malheureusement la démo s'arrête là… à quand la suite ?"